Désignant généralement un lieu de travail, une étude ou un cabinet regroupe de nombreux professionnels. Une étude d’avocats https://www.fsc-avocat.fr/ reste dans ce sens un groupement commercial composé de nombreux avocats pour y pratiquer des activités afférentes à ce métier.

Structures d’une étude d’avocats

Selon la juridiction qui s’y applique, on peut constater différents types d’études d’avocats https://avocat-omrani.be/. On distingue entre autres l’entreprise individuelle où l’on retrouve exclusivement un seul avocat qui se charge des pertes, des profits et des responsabilités. Il y a ensuite l’entreprise professionnelle qui se présente sous forme de société civile. Puis, vient la société à responsabilité limitée qui présente moins de responsabilités par rapport aux tiers. Et enfin, on retrouve la société professionnelle qui est identique à la société à responsabilité limitée.

Les « Big Four »

Étant des structures très agencées adoptant la même organisation que celle d’une entreprise, ces types de cabinets proposent aux avocats un statut d’avocat-salarié. Ces « Big Four » gardent des liens serrés avec les auditeurs et commissaires aux comptes. Présentant des structures importantes et recouvrant une couverture géographique assez vaste au niveau national, les avocats https://www.question-juridique.fr/ y sont regroupés en équipe selon leurs spécialités. Leurs travaux sont également sectionnés. Le travail de leurs avocats consiste en la répartition du conseil aux clients de l’audit ainsi que le conseil aux clients « non-audit ». Dans le premier cas, le travail se base sur l’inventaire des comptes et l’exploration des risques juridiques et fiscaux. Dans le second cas, l’activité repose sur les spécialités des membres du cabinet.

Les cabinets d’affaires internationales

Pour la plupart anglo-saxonnes, les études internationales semblent attirer une plus grande majorité d’avocats https://www.cherche-avocat.fr/. La raison en est probablement à cause des rémunérations intéressantes avec primes, une notoriété plus marquée, un environnement de travail agréable, mais aussi des moyens matériels aux normes de qualité. Généralement, les activités qui priment dans les études internationales restent le conseil et le contentieux. Composés ordinairement de plus de 50 avocats, les dossiers frontaliers qui requièrent l’intervention de plusieurs bureaux de par le monde et transversaux qui touchent plusieurs domaines juridiques sont les plus souvent traités. De ce fait, ces études proposent des solutions plus élargies et des avocats plus réactifs à leurs clients.

Les cabinets français généralistes et/ou spécialisés

De leur côté, les cabinets français sont exposés comme étant moins attractifs, voire moins prestigieux, surtout sur le plan financier. Toutefois, la charge de travail y est plus modérée. En général, ils œuvrent entre le conseil et le contentieux. On distingue des études qui regroupent des avocats très spécialisés qui attirent des clients recherchant ces spécialités : droit social, administratif, divorce https://www.avocatdivorce.fr/ ou encore droit de l’environnement. On retrouve également des études qui ne travaillent que pour les clients PME et/ou des particuliers. Toutefois, les études d’avocats français généralistes cumulent des avocats beaucoup plus autonomes qui consacrent une grande partie de leurs temps à leurs clients personnels. Et les études spécialisées, familièrement appelées « niches » offrent à leurs tours une forte expertise dans leurs champs d’intervention.